Critiques de Oncle Boonmee, celui qui se souvient de ses vies antérieures

Bon, la seule chose que je puisse accorder à ce film c'est que j'en ai tiré plein de réponses (inintéressantes) à plein de questions (que je ne me posais pas) : - dans quel état sont les routes de...

Après avoir survécu à ces 108 minutes de léthargie prétentieuse, voici, en vrac, quelques réflexions et réponses à des questions qu'on peut parfois se poser: - Critère absolu pour critique peigne-cul...

C'est le premier film d'Apichatpong Weerasethakul que je vois, ayant toujours été un peu réticent à l'idée de m'infliger la vision d'un cinéma aussi radical — pour de mauvaises raisons, sans doute,...

Après avoir vu le film hier soir à la Tsf à 22h dans des conditions correctes, je regarde ce matin ce que disent mes éclaireurs. Guyness, généreux dans l'enthousiasme comme dans le dépit, est...

Des apriori défavorables j'en avais sur ce film de presque deux heures dont les échos, sauf exceptions, n'étaient pas très positifs, évoquant "une histoire sans intérêt sur des images sans queue ni...

Award de la branlette intellectuelle pour critiques ciné onanistes.

Découpé dans la lumière nocturne, une silhouette d'animal. Une ombre. Une esquisse de bête à cornes attachée dans la jungle. Entre les arbres aux branches entremêlées, le cortège d'une princesse,...

C'est peu dire que le cinéma de Weerasethakul est "segmentant", comme disent les experts en Marketing : "Oncle Boonmee", on adore (d'où la Palme d'Or, amplement méritée si l'on se place du point de...

Tout, chez Apichatpong Weerasethakul, est une question de perception. Difficile de trouver un juste milieu entre l’émerveillement if et le rejet complet de la forme d’art approchée par le...

J'ai vainement espéré que Tony Jaa survienne à tout moment pour leur casser la gueule à tous. A la place, j'ai eu droit à un roman-photos final avec Chewbacca noir qui pose avec des gens tout...