Donissan. Ou plutôt cette ombre d’homme que Depardieu est.
Dans Sous le soleil de Satan, rien ne semble tenir. Ni la caméra, qui flotte sans point de vue, ni les dialogues, qui tombent à plat comme des dogmes sans croyants. Les visages sont fermés, les personnages figés, comme s’ils jouaient à être là. Ici,